Iles Galapagos, les enchantées

(du 25/09 au 8/10/24)

 

 

Province de l’Equateur depuis 1832, les îles Galápagos, signifiant « îles des tortues de mer », sont un archipel volcanique de l’océan Pacifique situées à près de 1.000 km au large des côtes équatoriennes que l’on appelle aussi « les enchantées ».

127 îles, ilots et rochers composent ce territoire perdu au milieu de l’océan. 19 d’entre elles sont de grandes tailles et seules 4 parmi elles sont habitées : Santa Cruz, San Cristobal, Isabela, Floreana.
Ces îles sont entourées par la réserve marine des Galápagos, créé en 1986, qui couvre une superficie actuelle de 133.000 km2, ce qui fait d’elle l’une des plus grandes réserves marines au monde et constitue un site du patrimoine mondial de l’Unesco.

 

 

Son territoire isolé abrite une faune et une flore très variées dont bon nombre d’espèces sont uniques, voir même endémiques.
En 1835, Charles Darwin, naturaliste britannique, y étudia la diversité des espèces présentes. Ses nombreuses observations lui permirent d’argumenter sa fameuse étude sur l’évolution et la sélection naturelle.

 

Pour atteindre l’île de Santa Cruz depuis Quito ou Guayaquil, on atterrit sur l’île de Baltra qui sert principalement d’aéroport.
Ensuite, il faut prendre un bus d’une dizaine de minutes pour rejoindre un bateau qui vous amène à l’extrémité nord de l’île de Santa Cruz, puis un bus (ou un taxi) durant une quarantaine de minutes pour rejoindre enfin l’extrémité sud de l’île habitée, Puerto Ayora. C’est un peu le parcours du combattant mais tout est vraiment bien organisé.

 

 

 

 

 

1 – Santa Cruz, Puerto Ayora :

 

 

 

Moqueur de Saint-Kitts

 

 

 

Pélikan brun des Galápagos

 

 

 

 

 

Puerto Ayora est terriblement touristique : restaurants multiples, magasins de souvenirs et de bijoux, agences d’expéditions en tout genre et hôtels ne manquent vraiment pas ! Un peu too much pour nous… Faut dire que les îles accueillent plus de 160.000 touristes par an, soit plus de 5 fois le nombre d’habitants qui s’élève à environ 30.000.
Quelques petits coins paradisiaques sont heureusement bien nichés loin de la frénésie de la rue principale.
Quant à nous, nous y étions hors saison, donc heureusement, il n’y avait pas foule aux portillons.

 

 

 

 

 

Les eaux des Galapagos nous ont longtemps fait rêver en tant que plongeurs. Mais depuis la Belgique, nous nous sommes toujours abstenus de nous y rendre.
Maintenant que nous sommes sur place, c’est le moment ou jamais d’aller voir enfin ces fonds marins mythiques habités par de grands pélagiques. Allons-nous enfin croiser la route des requins marteaux, un vieux rêve… ?
Nous réservons une première sortie en mer auprès de l’agence Shark Bay, très professionnelle.
Sorties du jour au programme : North Seymour & Daphne.

 

 

L’ambiance sur le bateau est super sympa entre plongeurs. Ils viennent d’Allemagne, d’Angleterre, d’Australie, des USA et de Belgique, of course.

 

Notre première plongée est assez belle, même si la visibilité n’est pas très bonne : trop de sédiments flottent encore dans les eaux à cette période de l’année. De nombreux bancs de poissons nous accueillent dès la descente, puis se succèdent de jolies tortues de mer, de grands requins des Galapagos (qui ressemblent étrangement à des requins dormeurs), de belles raies aigles et poissons divers… Hélas, pas de marteaux en vue alors que le site est vraiment propice pour en voir.

Quant aux couleurs des fonds, elles sont pour ainsi dire inexistantes… Ni coraux, ni gorgones, ni anémones. Cela nous fait tout drôle. On a été plutôt habitués à autre chose en Mer Rouge, aux Maldives et du côté de Djibouti. Mais c’est normal, ce ne sont que des roches volcaniques.

 

 

Nous avons vu bien plus que ce qu’il y a sur les petits films mais notre guide était maître de la vidéo et n’était pas toujours occupé à filmer ce que nous voyions. Nous n’avons jamais investi dans du matériel de photos ou vidéos sous-marines. Nous préférons profiter pleinement du moment présent. ☺️

 

Frégate

 

North Seymour

La deuxième plongée autour de l‘île Daphne fut nettement moins plaisante, pour ainsi dire plutôt décevante. Elle n’avait rien à voir avec la première plongée. La visibilité était très mauvaise et nous n’avons guère apprécié le tombant sinistre que nous avons longé.

 

Sur le port, a eu lieu aussi le neuvième festival de la langouste. Inutile de vous dire que nous avons testé ces merveilleuses bibiches, mais bien plus tard, sur Isla Isabela. Ca n’a qu’a pas être aussi bon !!!

 

Le snorkling à Baya de Tortugas, dans une eau turquoise avec peu de fond est vraiment plaisant même si l’eau est plutôt froide : une magnifique tortue marine, un immense banc de Lutjan, et 7 ou 8 requins qui me sont arrivés droit dessus sans que je puisse anticiper… J’avoue avoir été sacrément saisie !!! Ils se cachent souvent dans les mangroves le long des berges, comme les requins dormeurs ou les jeunes requins. Tandis que JP rinçait les combis du sable, un tout jeune requin marteau est passé entre ses jambes ! Veinard, il l’a vu ! J’étais malheureusement sur la plage entrain de m’habiller.
On peut atteindre cette plage à pied au bout de 40 minutes de marche depuis le milieu du village ou par bateau-taxi.

Admirer la vie sauvage, c’est souvent une question de chance, être là, juste au bon moment…

 

 

Pour les amateurs de snorkling, il y a aussi la Playa los Alemanes et Las Grietas, sorte de canyon… C’est pas fou, mais il faut dire qu’on a déjà vu tellement de beaux fonds marins qu’on devient quelque peu exigeants.

 

A Santa Cruz se trouve également le Darwin Research Center où l’on peut observer des tortues provenant de différents îles.

 

 

Mais là où elles nous ont le plus impressionnés, c’est à El Chato Tortoise Sanctuaire.
Pour y arriver, il faut prendre un taxi et retourner un peu sur les hauteurs.

En chemin, on s’est arrêté pour aller voir les Gemelos, deux grands cratères dans lesquels une végétation bien dense s’est épanouie.
Cette zone est très souvent dans les nuages. Le plafond des nuages peut être extrêmement bas sur l’île de Santa Cruz, entre 200 et 300 m au-dessus du niveau de la mer.

 

 

Les tortues d’El Chato se sont installées spontanément sur un haut-plateau assez humide. Elles sont totalement libres, vont et viennent à leur guise. Il s’agit du reptile terrestre le plus lourd au monde. On en compterait 10 espèces différentes sur les îles mais elle sont si proches l’une de l’autre qu’il est bien difficile de les distinguer.
Totalement endémique dans les neufs îles de l’archipel, elles sont véritablement emblématiques.

On estime l’âge de la plus ancienne à un peu plus de 100 ans.
Les dessins apparaissant sur leur carapace déterminerait facilement le sexe de la tortue. Les femelles sont marquées par des ronds apparaissant sur leur carapaces

 

Etant donné l’humidité ambiante et les touristes en scandales légères que nous sommes, on nous a prêté des bottes…

 

Je suis tombée en amour de ces reptiles d’un autre temps. Ils sont saisissants, incroyablement expressifs et d’une lenteur déconcertante. Faut bien transporter ton poids, ma p’tite dame ! (en moyenne 220 kg, voir jusqu’à 420kg).

 

 

Vidéo Tortue 1 (cliquez sur le lien)

Vidéo Tortue 2 (cliquez sur lien)

Vidéo Tortue 3 (cliquez sur le lien)

 

Durant notre balade à El Chato, nous avons également traversé un tunnel de lave dans lequel séjourne une jolie chouette des Galápagos.

 

 

Près du Centre Darwin, il y a également un artiste qui réalise des fresques en mosaïques. En voici un tout petit échantillon.

 

A proximité, on trouve aussi une variété d’arbres, appelée le Manzanillo, dont les baies sont très appréciées par les lézards.
Il faut pourtant s’en méfier comme de la peste : sa sève, ses feuilles et ses fruits sont très toxiques, voir mortels pour les humains et son latex laiteux très irritant. Même sans y toucher, juste par des gouttelettes, vous risquez de très graves brûlures sur la peau. A bon entendeur, salut !

Bien que très toxiques, ces arbres constituent toutefois un excellent coupe-vent naturel et ses racines stabilisent le sable et contiennent l’érosion côtière.

 

 

 

2 – San Cristóbal : Puerto Baquerizo Moreno

 

Après 3 jours passés à Santa Cruz, nous prenons le bateau pour San Cristobal, l’île la plus orientale de l’archipel des Galápagos. Il y a deux bateaux par jour entre chaque île (7h – 15h).

Selon l’état de la mer, il faut compter entre 2h et 2h30 pour les traversées inter-îles. Et, même si la mer n’est pas trop démontée, ça tape fortement par moment et ce n’est pas pour autant que le bateau ralentit…

 

 

 

Capitale de l’archipel, Puerto Baquerizo Moreno est situé à la pointe sud-ouest de l’île. En tant que capitale, ce petit village portuaire nous a paru étonnement bien plus calme, voir quelque peu endormi en comparaison avec Puerto Ayora, ce qui n’était pas vraiment pour nous déplaire.

Composée de quatre grands volcans qui ont fusionné par des coulées de lave successives pour former un seul bloc, elle contient le plus grand lac d’eau douce de l’archipel, la Laguna El Junco, qui se situe dans un cratère de la chaîne de montagne de l’île. Après hésitation, nous n’y sommes finalement pas montés car le plafond des nuages semblaient couvrir les hauteurs.

L’île aurait émergé de la mer il y a des millions d’années et en ferait l’une des plus anciennes îles de l’archipel.

Les hauteurs sont couvertes de végétation luxuriante, habitat idéal pour la tortue géante. Une partie de cet habitat a été converti en terres agricoles biologiques pour nourrir la population locale.

 

 

 

Plus bas, le long de la côte, l’habitat de San Cristobal se transforme en plages, mangroves, forêt de cactus et broussailles arides.

 

 

Le lendemain de notre arrivée, nous faisons route pour plonger sur Kicker Rock.
JP, déçu de sa dernière plongée, ne m’accompagne finalement pas.
Je m’embarque donc seule, avec de parfaits inconnus, sur un superbe catamaran. La traversée dure près de 2h.

 

 

Kicker Rock est le bloc de roches que l’on aperçoit au loin. On l’appelle aussi Léon Dormido car vu de l’autre côté, il fait penser à un lion endormi.

 

 

Alors, comment furent les plongées à Kicker Rock ??? Eh bien tristement décevantes. JP a bien fait de ne pas m’accompagner. En dehors de quelques otaries qui ont joué avec moi, deux magnifiques raies aigles et quelques poissons, le manque de visibilité ne m’a malheureusement pas offert de jolies découvertes.

Heureusement, mes compagnons de route étaient bien amusants et nous avons passé une journée malgré tout bien sympathique.

 

Le lendemain, nous partons à pied jusqu’à la Playa la Loberia, située peu après le petit aéroport de l’île.
On y rencontre bon nombre d’otaries avec leurs jeunes en cette période de l’année, quelques tortues marines ainsi que des iguanes.
Plus loin, nous poussons la balade à travers les roches de lave jusqu’aux sommet des falaises pour y observer les oiseaux.
Il n’y a toutefois pas de fous à pattes bleues, comme on nous l’avait prédit, sauf celui-ci en plein vol.

 

 

 

Nous réservons pour le troisième jour une excursion jusqu’à Punta Pitt, l’extrémité opposée de l’île que nous rejoignons par bateau. Après un peu de snorkling dans les eaux turquoises du lagon pour ceux qui le souhaitent et un moment de détente sur la plage, nous prenons notre repas sur le bateau.

Sur la plage, quelques otaries somnolent, tout en chauffant leur peau au soleil.
Deux tous jeunes s’amusent, attendant le retour de leur mère. Ils doivent avoir moins d’un mois. Leur mère les allaite encore.

 

 

Vidéo maman otarie 1 (cliquez sur le lien)

Vidéo maman otarie 2 (cliquez sur le lien)

Vidéo otarie nageant (cliquez sur le lien)

 

 

Ensuite, nous entamons une bonne grimpette et prenons doucement de la hauteur. Le sentier nous amène sur un plateau surplombant la petite baie, territoire des trois espèces de fous, appelés aussi « Boobies » : les fous à pattes bleues, les fous à pattes rouges et les fous de Nazca.

 

Fou à pattes bleues (Booby)

 

Les fous à pattes bleues sont souvent appelés « Booby », surnom venant de « bobo » qui signifie idiot ou klown.  Ce surnom prend toute sa signification quand on découvre leur démarche et leur décollage plutôt clownesques.
Les pigments bleus de leurs pattes, appelés caroténoïdes, proviennent des types de poissons qu’ils mangent.
Durant la parade nuptiale, le mâle soulève alternativement l’une et l’autre patte palmée pour montrer à la femelle l’intensité du bleu de sa patte. N’est-ce pas une façon amusante façon de séduire sa compagne ! Si les hommes pouvaient manger plus de ces poissons-là, je ne serais pas contre mais tout contre.

 

 

Une autre caractéristique morphologique leur permet de plonger pour pêcher : leurs narines sont en permanence bloquées.
Ils ont appris à respirer par le coin de leur bec.
Quand ils plongent, leur vitesse approche les 100km/h !

 

Vidéo Boby patte bleu pêcheur (cliquez sur le lien)

 

 

Ils nichent souvent à même le sol  où ils couvent leurs oeufs sur leurs pattes. Mâle comme femelle se partage la tâche.

 

Sur les trois photos qui suivent, on peut observer le mouvement d’une fine membrane transparente qui glisse progressivement sur l’oeil de l’oiseau. On suppose qu’il s’agit d’une protection de l’oeil quand ils plongent mais on ne l’a vu qu’après avoir importé les photos sur l’ordinateur et le guide était déjà bien loin…

 

 

Les fous à pattes rouges nichent, quant à eux, plutôt dans les arbres car ce sont les seuls capables de fermer leurs pattes sur les branches.

 

 

Les jeunes n’ont pas encore eu le temps de voir leurs pattes se colorer et gardent encore un duvet sur le sommet de la tête.

 

 

Quant aux fous de Nazca, ils vivent sur les falaises rocheuses. Nous les avons vu voler mais ils étaient trop loin pour les capter correctement.
Ils ont un bec jaune, les yeux cerclés de noir, les ailes blanches bordées de foncé et les pattes verdâtres.

Nous en avons vu un sur les roches de North Seymour. J’hésite juste car souvent le bord de ses ailes est plutôt noir que brun. Mais le guide du bateau nous a bien dit que c’était un fou de Nazca….

 

 

Après une bonne heure passée sur les hauteurs de Punta Pitt à observer cette nature sauvage, drôle et touchante, qui n’a nullement peur de l’humain, nous redescendons pour rejoindre la plage et notre bateau en emportant avec nous cette dernière image d’un tout jeune « Red foot booby ».

 

 

 

Le lendemain, nous poursuivons notre découverte de la ville et admirons les oeuvres d’art en mosaïques d’un hôtel.

 

Puis, nous partons pour la playa Punta Carola et ensuite la playa Mann, envahie par de très nombreuses otaries.

 

 

Notre cher Darwin semble continuer à veiller sur eux

 

 

 

3 – Isla Isabela : Puerto Villamil

 

 

Avec ses 120 km de long, il s’agit de la plus grande île des Galápagos et sa superficie totale est plus grande que toutes les autres îles réunies. Formée par l’union de six volcans toujours potentiellement en activité, elle est aussi parmi les îles les plus jeunes de l’Archipel. Parmi eux, le célèbre volcan Lobo constitue le point culminant de l’île et le volcan Wolf, celui de tous les Galápagos.

Isabela était autrefois un centre de production de chaux sur les îles, obtenue en brûlant du corail ramassé dans ses eaux côtières. Santa Tomas abritait une mine de soufre située dans le cratère volcanique. Mais, le manque d’eau douce sur les îles n’a pas permis à ces entreprises de prospérer et l’île ne se développa jamais beaucoup.

Le côté Nord-Ouest de l’île abrite Tagus Cove, un célèbre mouillage jadis repaire des pirates et des boucaniers, puis des baleiniers et des pêcheurs.

 

 

Vidéo aigrette (cliquez sur le lien)

 

Plus authentique et plus sauvage que les autres îles, avec plus d’animaux que d’humains et un coeur difficilement accessible, Isabela a su garder le charme d’un ancien village de pêcheur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous savourons cette plénitude et cette paix incroyable qui règne ici en maître.

 

En soirée, quelques restaurants en bordure d’océan sont bien accueillants.

 

Quant à ce bar, le Pink Bar, nous y avons passé de superbes moments avec notamment un couple de français, à tester notre équilibre sur une sangle tendue (là, on évite les photos ridicules ),  à jouer au volley-ball et à siroter l’un de leur breuvage dont ils ont le secret.

 

Une après-midi snorkling nous attire à Concha de la Perla, située à gauche de l’embarcadère du petit port d’arrivée.
Tortues, otaries et poissons divers sont au rendez-vous sous l’eau. Le mieux est d’y aller à marée basse.
Un jeune requin rode mais nous ne l’avons pas aperçu.

Une journée vélo, plutôt sportive avec les vélos locaux, nous amène jusqu’à « Wall of Tears« , le mur des larmes, où se trouve les restes d’un pénitencier épouvantable qui fut actif sur l’île entre 1946 et 1959. Prisonniers politiques et délinquants y furent enfermés, sous une chaleur souvent insoutenable, avec un manque d’eau crucial, subissant abus de pouvoir et maltraitance. Ils durent construire eux-mêmes les murs de leur prison. Beaucoup y laissèrent leur vie…

 

 

Sur le chemin du retour, beaucoup plus aisé car en descente cette fois, nous prenons le temps de savourer chaque petit détour. Ils sont nombreux et nous apporte une pause agréable car la chaleur devient quelque peu accablante.

 

 

 

Cette coulée de lave forme un petit tunnel et part s’éteindre dans l’océan. Un fameux iguane en a fait son territoire de prédilection. Il est visiblement en chasse : sa peau colorée tente d’attirer une femelle.

 

 

Plus loin, un sentier mène à l’intérieur d’une mangrove où il est possible de se rafraichir.

L’eau est transparente et ça fait un bien fou !

 

Vidéo mangrove (cliquez sur le lien)

Vidéo Iguane (cliquez sur le lien)

 

 

 

Playa del Amor, lieu de reproduction des iguanes.

 

 

El Ozo verde :

 

Vidéo tortue vélo (cliquez sur le lien)

 

Nous n’avons pas fait le renommé Los Tuneles Tour car nous avons déjà vu énormément d’animaux marins et cela ne nous aurait rien apporté de plus.
Une visite de l’un des trois volcans aurait pu être très intéressante aussi mais nous nous sommes laissés emportés par la douce flânerie et le farniente sur cette île qui nous a littéralement conquis.

 

L’heure est venue de nous envoler vers Quito et de retrouver notre monture.
Nous n’avons pas encore exploré toute la ville, une journée supplémentaire sera nécessaire.

 

A bientôt !

S’abonner
Notification pour
guest

5 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Moens Marcel
Moens Marcel
2 jours il y a

Bien sûr qu’il y a du monde, mais oui l’eau aurait pu être plus transparente, mais quand même, quelles merveilleuses découvertes! Heureux pour vous!

Fettweis, Claire
Fettweis, Claire
2 jours il y a

Quel voyage, le royaume des animaux, dans une faune superbe. Quelle chance de voir
ça! Ces oiseaux à pattes de couleur c’est vraiment étonnant, vous avez vu un endroit unique au monde ! Bis.

Paul Van der Elst
Paul Van der Elst
2 jours il y a

Eh oui, Claire a pris goût à vos exploits
C’est vrai que les pattes bleues et rouges sont surprenantes
Est-ce qu’il s’agit d’une différence de sexes ?
Bisous

Caroline
Caroline
1 jour il y a
Répondre à  Paul Van der Elst

Ce sont bien des fous mais d’espèce différente. La couleur de leurs pattes est liée à leur alimentation qui n’est pas la même.
Leur tête est aussi différente.

Annie et Emile
Annie et Emile
1 jour il y a

Superbes découvertes des animaux de toutes espèces, des fous, des pattes de couleur et de courageux plongeurs !